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Pressions allemandes sur la Suisse

La pression sur la réputation éthique des entreprises suisses s’est maintenue en aoà»t: elles affichaient en effet un ratio de 45% d’informations positives (55% de négatives), alors que le benchmark global (composé de 600 sociétés) atteignait 52%. L’Allemagne a été la principale source de critiques visant les firmes helvétiques (seulement 17% de nouvelles favorables), suivie de la Suisse (38%). A noter que les nouvelles venant des USA étaient globalement positives (67%). C’est à  nouveau le secteur bancaire qui a été principalement dans la ligne de mire des observateurs attentifs à  la durabilité, avec des références à  la manipulation du LIBOR, à  la fraude fiscale et au blanchiment d’argent. Impact institutionnel et Conditions de travail: Ces deux groupes obtiennent les moins bons résultats. Plusieurs sources évoquaient la procédure pénale ouverte par le Ministère public de la Confédération contre UBS, soupà§onnée de blanchiment d’argent issu de la corruption en Malaisie. En matière de conditions de travail, il a été abondamment reproché aux banques suisses de dénoncer leurs propres employés aux autorités américaines. Au plan positif, on a salué les efforts de Nestlé et de Barry Callebaut pour améliorer le sort des cultivateurs de cacao en Afrique; Adecco s’est félicité d’avoir dépassé les attentes du Comité d’organisation des Jeux Olympiques de Londres en matière de diversité dans le recrutement. Alors que Swisscom annonà§ait des places d’apprentissage supplémentaires en Suisse, le groupe de commerce de détail Valora et le syndicat Syna trouvaient un accord sur une révision de la convention collective de travail. More…

Publication by Covalence & BBGI Group | Source: L’Agefi

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